2 ème partie : 8 cylindres vers le Portugal
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2 ème partie : 8 cylindres vers le Portugal
(J'ai placé dans le bon post le trajet de la partie 1 que j'ai oublié l'autre jour.)
Le programme de ce 15 juillet étant un peu chargé, nous empruntons dès que possible l’autoroute A8, dite « Autovia del Cantabrico » (gratuite, donc, comme en fait les trois quarts des autoroutes en Espagne) qui offre régulièrement de jolis paysages et dont le tracé n’est pas monotone.
Nous notons qu’en Espagne, un joli site naturel est souvent gâché par des constructions industrielles ou des centaines de logements identiques et assez laids. Dommage. Au passage, je remarque que les numéros de sorties d’autoroute espagnoles correspondent au point kilométrique où elles sont situées… Pas bête.
Après ces 130 km que nous avons parcourus tranquillement à 100/110 km/h le plus souvent, plein d’essence à Cabezon de la Sal ; pas de 98 ici, mais du 95 normal et du E 10 que nous éviterons, par contre, voilà qu’arrive un pompiste, mais oui, dans ce pays c’est encore assez courant. Le carburant est moins cher qu’en France, par contre au Portugal c’est plus cher que chez nous ou à peu près pareil suivant les endroits…
A Unquera, nous partons plein sud par la N 621 ; rapidement le paysage change et la route devient vraiment sympa. En plus c’est du billard et elle est assez peu fréquentée en cette matinée. Nous entrons dans le parc national « Picos de Europa ». Après Panes, on se régale encore plus, tant pour les vues que pour les enfilades de virages, même si le trafic se densifie et qu’il faut jouer un peu à « saute-voiture » à chaque portion un tant soit peu droite qui dispose de visibilité.
Nous faisons une pause à Potes, superbe village niché à 300 m d’altitude entre des montagnes spectaculaires. Il y a du monde ici, c’est touristique et c’est jour de marché. Nous trouvons de quoi garer les motos à côté de motards anglais sur un emplacement dédié. C’est en plein soleil et je redoute déjà le moment où il faudra repartir et enfiler casque et gants… Petit tour au marché, nous remarquons que les commerçants proposent essentiellement des produits locaux qui respirent l’authenticité. Le pont San Cayetano attire notre regard, puis nous nous éloignons vers les ruelles anciennes, belles, un peu escarpées et surtout désertes (clin d'oeil à Yannis !).
Retour aux machines après une bonne heure d’arrêt, nous vidons une partie de notre réserve d’eau et repartons à l’assaut de la montagne. Après quelques kilomètres, la route devient tout simplement géniale : assez large, revêtement parfait, superbes virages avec une bonne visibilité globale, cette montée du « Puerto (col) de San Glorio » est une merveille motocycliste ! Je ne tarde pas à dépasser ma compagne qui roule souvent devant, je passe en mode Dynamic et j’attaque ce beau ruban. Il y a des routes dont on se souvient parce qu’elles représentent une sorte de Graal sur 2 roues ; ce col en fait partie en ce qui me concerne, au même titre que le Ballon d’Alsace, le col du Bonhomme ou le col de Puymorens. J’ajoute celle-ci sur ma liste « waouhhh !!! »
Je laisse sur place une fourgonnette fumante et dans un mugissement de 6 pattes, avec montées et descentes (bruit magique) de rapports au shifter, les 12 premiers km passent… Plutôt vite !
Je rattrape une 1200 GSLC que je dépose dans un gauche un peu serré. Ben alors ? Il ne pleut pas et pourtant il se traîne ???
Je m’arrête au Mirador del Corzo où un petit parking permet d’admirer le paysage environnant, à 1260 m d’altitude. Une sculpture de chamois accompagne mon regard vers la vallée. Le motard en GS arrive, suivi à quelques secondes par Edith. Nous nous saluons en espagnol et il regarde la 16 le pouce levé… Signe de respect ? Je ne suis pas un pilote exceptionnel, loin de là, je pense que ce motard roulait simplement en rythme promenade.
Il est presque 14 h, nous décidons de faire à cet endroit notre pause pique-nique ; à cette altitude il fait une température très agréable en plein soleil.
Reprise du guidon, nous parcourons les 3 derniers km avant d’arriver au col et après concertation bifurquons à droite vers une toute petite route, un panneau signalant un point de vue nommé Collado de Liesba (la petite route qui monte à gauche sur la photo ci-dessous).
Au détour d’un virage, un troupeau de vaches rumine dans un pré, sauf l’une d’entre elles qui est en train de brouter sur le bord de la route. Heureusement, tout nous incitait à ne guère dépasser les 30 km/h…
Trois minutes plus tard nous voici au bout ; un chemin invite à monter un peu plus haut et on distingue une sculpture, d’ours cette fois. Edith décide d’y aller, à pied, je déclare forfait pour cette fois.
Me voyez-vous ? Derrière le camping-car avec la K 16...
Après le col nous changeons de province pour entrer dans celle dénommée « Castilla y Leon ». Le revêtement routier est de moindre qualité (visible sur la photo juste avant les vaches) et nous rencontrons dans la descente des zones de travaux pour lesquelles il faut parfois rouler à 10 km/h car la route est en complète réfection… Parallèlement, la température ré-augmente. Il subsiste toutefois de très belles portions bien roulantes sur cette N 621 vers Riano.
Au détour d’un virage, on est ébloui par la vision d’un magnifique lac de barrage d’un bleu turquoise presque irréel ; nous passons sur plusieurs ponts puis sur l’ « Embalse de Riano » lui-même, à petite vitesse pour ne rien perdre du spectacle…
Après Cistierna, la route devient la N 625 et perd de l’intérêt : nous sommes « en bas de la pente », il fait plus de 30 ° et le tracé devient rectiligne jusqu’à Leon. Un quart d’heure avant d’atteindre la ville, Edith me signale via le Scala Rider l’allumage d’un voyant à son tableau de bord, un point d’exclamation dans un triangle orange. Elle est inquiète, mais tout semble fonctionner normalement. Dans ces conditions, je suggère de continuer jusqu’à l’hôtel avant d’investiguer.
L’hôtel Riosol, réservé la veille grâce à Booking.com, est une « grosse boîte ». Etablissement assez impersonnel, sans réel charme, il présente le double avantage d’être à proximité immédiate du centre ville et d’être équipé d’un garage privé et fermé. La réceptionniste parle anglais, ce qui m’arrange toujours tant mon espagnol est embryonnaire. La chambre est grande, propre et fonctionnelle. La clim fonctionne bien et après avoir jeté un œil par la fenêtre, je laisse les rideaux fermés car la vue est affreuse : une cour en béton, à 30 m de l’immeuble voisin, pas beau lui non plus ! Sitôt la douche salvatrice expédiée, petit coup d’œil au livret de la GS et tout va bien : le voyant signalait simplement l’action de l’antipatinage.
Nous chaussons nos baskets et direction la cathédrale, particulièrement renommée. Nous retrouvons l’ambiance de fin de journée espagnole : tout le monde est dehors, les terrasses sont bondées, les rues piétonnes sont bien agréables. Le quartier de la cathédrale, laquelle est effectivement remarquable (nous n’avons pas visité l’intérieur), est pourvu de bâtiments de belle facture et nous décidons après quelques clichés de prendre un rafraichissement bien mérité sur la Plaza Mayor, elle aussi très sympa.
La suite de nos pas nous fait repasser par la Calle Ancha et un magasin Carrefour Express, ouvert jusqu’à 23 h… Nous achetons quelques denrées, majoritairement locales, histoire de nous faire un petit casse-croûte dans la chambre, à l’heure qui nous plaît sans attendre les horaires de dîner espagnols ! L’eau et la bière sont disponibles fraîches dans cette boutique, c’est un plus indéniable.
16 juillet. Superbe buffet de petit déjeuner, à volonté, qui nous permet de juste grignoter le midi… Nous nous extirpons de la ville, qui nous laisse un joli souvenir touristique. La route choisie pour gagner la frontière portugaise est rapidement agréable : large, bien revêtue, peu de lignes droites et une fois de plus, quasiment déserte. Peu après La Baneza, nous sommes dans un pays de collines et il y a vraiment de quoi se faire plaisir à moto ! Méfiance quand même dans les traversées de villages, nous avons vu plusieurs fois la Guardia Civil postée en entrée ou sortie de commune, sans savoir s’ils contrôlaient la vitesse ou pas. Sur la LE 125 que nous suivons, pas de trace de radar…
Castrocontrigo, Muellas de Los Caballeros, Carbajales de la Encomienda, Palacios de Sanabria, Puebla de Sanabria, superbe château perché, arrêt photos…
Pedralba de la Praderia, les villages se succèdent.
Plein d’essence avant la frontière en cherchant un lac qui pour finir était un peu trop loin ; là aussi nous sommes servis par un jeune pompiste qui ne sait plus où donner des yeux en regardant nos bécanes. Avant de repartir, coup d’œil sur le Zumo de la GS qui prévoit une heure d’arrivée antérieure à l’heure du moment !
Et oui, le temps lusitanien présente une heure de différence avec l’Espagne ou la France.
Nous sommes plein sud sur la ZA 925 et après une quinzaine de km de route de moyenne montagne très agréable, voici qu’apparaît le panneau indiquant le changement de pays : Portugal, nous voici ! Arrêt photo de rigueur pour immortaliser ce moment. Un plaisantin a modifié sur le panneau la vitesse autorisée sur autoroute…
A suivre...
Le programme de ce 15 juillet étant un peu chargé, nous empruntons dès que possible l’autoroute A8, dite « Autovia del Cantabrico » (gratuite, donc, comme en fait les trois quarts des autoroutes en Espagne) qui offre régulièrement de jolis paysages et dont le tracé n’est pas monotone.
Nous notons qu’en Espagne, un joli site naturel est souvent gâché par des constructions industrielles ou des centaines de logements identiques et assez laids. Dommage. Au passage, je remarque que les numéros de sorties d’autoroute espagnoles correspondent au point kilométrique où elles sont situées… Pas bête.
Après ces 130 km que nous avons parcourus tranquillement à 100/110 km/h le plus souvent, plein d’essence à Cabezon de la Sal ; pas de 98 ici, mais du 95 normal et du E 10 que nous éviterons, par contre, voilà qu’arrive un pompiste, mais oui, dans ce pays c’est encore assez courant. Le carburant est moins cher qu’en France, par contre au Portugal c’est plus cher que chez nous ou à peu près pareil suivant les endroits…
A Unquera, nous partons plein sud par la N 621 ; rapidement le paysage change et la route devient vraiment sympa. En plus c’est du billard et elle est assez peu fréquentée en cette matinée. Nous entrons dans le parc national « Picos de Europa ». Après Panes, on se régale encore plus, tant pour les vues que pour les enfilades de virages, même si le trafic se densifie et qu’il faut jouer un peu à « saute-voiture » à chaque portion un tant soit peu droite qui dispose de visibilité.
Nous faisons une pause à Potes, superbe village niché à 300 m d’altitude entre des montagnes spectaculaires. Il y a du monde ici, c’est touristique et c’est jour de marché. Nous trouvons de quoi garer les motos à côté de motards anglais sur un emplacement dédié. C’est en plein soleil et je redoute déjà le moment où il faudra repartir et enfiler casque et gants… Petit tour au marché, nous remarquons que les commerçants proposent essentiellement des produits locaux qui respirent l’authenticité. Le pont San Cayetano attire notre regard, puis nous nous éloignons vers les ruelles anciennes, belles, un peu escarpées et surtout désertes (clin d'oeil à Yannis !).
Retour aux machines après une bonne heure d’arrêt, nous vidons une partie de notre réserve d’eau et repartons à l’assaut de la montagne. Après quelques kilomètres, la route devient tout simplement géniale : assez large, revêtement parfait, superbes virages avec une bonne visibilité globale, cette montée du « Puerto (col) de San Glorio » est une merveille motocycliste ! Je ne tarde pas à dépasser ma compagne qui roule souvent devant, je passe en mode Dynamic et j’attaque ce beau ruban. Il y a des routes dont on se souvient parce qu’elles représentent une sorte de Graal sur 2 roues ; ce col en fait partie en ce qui me concerne, au même titre que le Ballon d’Alsace, le col du Bonhomme ou le col de Puymorens. J’ajoute celle-ci sur ma liste « waouhhh !!! »
Je laisse sur place une fourgonnette fumante et dans un mugissement de 6 pattes, avec montées et descentes (bruit magique) de rapports au shifter, les 12 premiers km passent… Plutôt vite !
Je rattrape une 1200 GSLC que je dépose dans un gauche un peu serré. Ben alors ? Il ne pleut pas et pourtant il se traîne ???
Je m’arrête au Mirador del Corzo où un petit parking permet d’admirer le paysage environnant, à 1260 m d’altitude. Une sculpture de chamois accompagne mon regard vers la vallée. Le motard en GS arrive, suivi à quelques secondes par Edith. Nous nous saluons en espagnol et il regarde la 16 le pouce levé… Signe de respect ? Je ne suis pas un pilote exceptionnel, loin de là, je pense que ce motard roulait simplement en rythme promenade.
Il est presque 14 h, nous décidons de faire à cet endroit notre pause pique-nique ; à cette altitude il fait une température très agréable en plein soleil.
Reprise du guidon, nous parcourons les 3 derniers km avant d’arriver au col et après concertation bifurquons à droite vers une toute petite route, un panneau signalant un point de vue nommé Collado de Liesba (la petite route qui monte à gauche sur la photo ci-dessous).
Au détour d’un virage, un troupeau de vaches rumine dans un pré, sauf l’une d’entre elles qui est en train de brouter sur le bord de la route. Heureusement, tout nous incitait à ne guère dépasser les 30 km/h…
Trois minutes plus tard nous voici au bout ; un chemin invite à monter un peu plus haut et on distingue une sculpture, d’ours cette fois. Edith décide d’y aller, à pied, je déclare forfait pour cette fois.
Me voyez-vous ? Derrière le camping-car avec la K 16...
Après le col nous changeons de province pour entrer dans celle dénommée « Castilla y Leon ». Le revêtement routier est de moindre qualité (visible sur la photo juste avant les vaches) et nous rencontrons dans la descente des zones de travaux pour lesquelles il faut parfois rouler à 10 km/h car la route est en complète réfection… Parallèlement, la température ré-augmente. Il subsiste toutefois de très belles portions bien roulantes sur cette N 621 vers Riano.
Au détour d’un virage, on est ébloui par la vision d’un magnifique lac de barrage d’un bleu turquoise presque irréel ; nous passons sur plusieurs ponts puis sur l’ « Embalse de Riano » lui-même, à petite vitesse pour ne rien perdre du spectacle…
Après Cistierna, la route devient la N 625 et perd de l’intérêt : nous sommes « en bas de la pente », il fait plus de 30 ° et le tracé devient rectiligne jusqu’à Leon. Un quart d’heure avant d’atteindre la ville, Edith me signale via le Scala Rider l’allumage d’un voyant à son tableau de bord, un point d’exclamation dans un triangle orange. Elle est inquiète, mais tout semble fonctionner normalement. Dans ces conditions, je suggère de continuer jusqu’à l’hôtel avant d’investiguer.
L’hôtel Riosol, réservé la veille grâce à Booking.com, est une « grosse boîte ». Etablissement assez impersonnel, sans réel charme, il présente le double avantage d’être à proximité immédiate du centre ville et d’être équipé d’un garage privé et fermé. La réceptionniste parle anglais, ce qui m’arrange toujours tant mon espagnol est embryonnaire. La chambre est grande, propre et fonctionnelle. La clim fonctionne bien et après avoir jeté un œil par la fenêtre, je laisse les rideaux fermés car la vue est affreuse : une cour en béton, à 30 m de l’immeuble voisin, pas beau lui non plus ! Sitôt la douche salvatrice expédiée, petit coup d’œil au livret de la GS et tout va bien : le voyant signalait simplement l’action de l’antipatinage.
Nous chaussons nos baskets et direction la cathédrale, particulièrement renommée. Nous retrouvons l’ambiance de fin de journée espagnole : tout le monde est dehors, les terrasses sont bondées, les rues piétonnes sont bien agréables. Le quartier de la cathédrale, laquelle est effectivement remarquable (nous n’avons pas visité l’intérieur), est pourvu de bâtiments de belle facture et nous décidons après quelques clichés de prendre un rafraichissement bien mérité sur la Plaza Mayor, elle aussi très sympa.
La suite de nos pas nous fait repasser par la Calle Ancha et un magasin Carrefour Express, ouvert jusqu’à 23 h… Nous achetons quelques denrées, majoritairement locales, histoire de nous faire un petit casse-croûte dans la chambre, à l’heure qui nous plaît sans attendre les horaires de dîner espagnols ! L’eau et la bière sont disponibles fraîches dans cette boutique, c’est un plus indéniable.
16 juillet. Superbe buffet de petit déjeuner, à volonté, qui nous permet de juste grignoter le midi… Nous nous extirpons de la ville, qui nous laisse un joli souvenir touristique. La route choisie pour gagner la frontière portugaise est rapidement agréable : large, bien revêtue, peu de lignes droites et une fois de plus, quasiment déserte. Peu après La Baneza, nous sommes dans un pays de collines et il y a vraiment de quoi se faire plaisir à moto ! Méfiance quand même dans les traversées de villages, nous avons vu plusieurs fois la Guardia Civil postée en entrée ou sortie de commune, sans savoir s’ils contrôlaient la vitesse ou pas. Sur la LE 125 que nous suivons, pas de trace de radar…
Castrocontrigo, Muellas de Los Caballeros, Carbajales de la Encomienda, Palacios de Sanabria, Puebla de Sanabria, superbe château perché, arrêt photos…
Pedralba de la Praderia, les villages se succèdent.
Plein d’essence avant la frontière en cherchant un lac qui pour finir était un peu trop loin ; là aussi nous sommes servis par un jeune pompiste qui ne sait plus où donner des yeux en regardant nos bécanes. Avant de repartir, coup d’œil sur le Zumo de la GS qui prévoit une heure d’arrivée antérieure à l’heure du moment !
Et oui, le temps lusitanien présente une heure de différence avec l’Espagne ou la France.
Nous sommes plein sud sur la ZA 925 et après une quinzaine de km de route de moyenne montagne très agréable, voici qu’apparaît le panneau indiquant le changement de pays : Portugal, nous voici ! Arrêt photo de rigueur pour immortaliser ce moment. Un plaisantin a modifié sur le panneau la vitesse autorisée sur autoroute…
A suivre...
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Re: 2 ème partie : 8 cylindres vers le Portugal
Merci Philippe pour ce partage...
La plaza mayor un endroit autour de valladolid que je connais bien, car j’y allais quand je faisais mes déplacements en Espagne.
La plaza mayor un endroit autour de valladolid que je connais bien, car j’y allais quand je faisais mes déplacements en Espagne.
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Re: 2 ème partie : 8 cylindres vers le Portugal
C'est vachement beau Philippe et quel ciel bleu également. Par contre, au niveau température, je pense que cela aurait été très dur pour moi.
Merci pour ce CR qui est génial et finalement haletant (d'attente)
Merci pour ce CR qui est génial et finalement haletant (d'attente)
Pierrot 67310- Modo du Pays des Cigognes
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