14 et 15 Juillet Lac de Constance

Cela fait maintenant 4 à 5 mois que nous avions décidé avec Philippe et Cathy (Triumph Tiger 1200) de faire une balade vers le Lac de Constance (Suisse/Allemagne/Autriche) en été. Pour des tas de bonnes raisons nous avons planifié cela le week-end (le pont) du 14 Juillet puisque nous cousins (très éloignés) germains travaillent et donc pas trop de monde sur les routes.
L'hôtel est réservé via un site bien connu en Autriche, à Dornbirn c'est le Four Seasons by Sheraton.
Pourquoi celui ci et non pas un hôtel au bord du lac? Parce qu'au bord du lac les hôtels coûtent une fortune et que c'est hors de question pour nous.
Nous surveillons les prévisions météo de près, Philippe n'aimant pas rouler sous la pluie et nous n'aimons pas la chaleur...
L'avant veille du départ nous n'étions (ma louloute et moi) toujours pas sûrs de prendre le départ, la météo s'annonçant chaude. Bon j'avoue avoir insisté un peu et ok on part en espérant que la météo ne nous calcine pas.
Les chats sont rentrés tardivement donc nous prenons le départ tardivement (aux alentours de 10h00) pour retrouver Philippe et Cathy au Bac de Rhinau, où nous prenons donc le bateau pour traverser le Rhin.
La température est de l'ordre de 24 à 25 degrés et nos vestes Venting et pantalons Airflow rendent jusque là le roulage agréable.
On traverse la plaine rhénane côté allemand pour monter tant que faire se peut en hauteur parce que la météo annonce très chaud. Ettenheim, Freiamt, Keppenbach, Gutach im Breisgau, Obersimonswald, Furtwangen im Schwarzwald, Donaueschingen (source du Danube) où nous nous sommes arrêtés pour manger au centre ville. Nombre de restaurants sont fermés en Allemagne parce qu'ils ne trouvent pas d'employés pour travailler et soit réduisent le nombre de jours d'ouverture soit restent complètement fermés. Nous avons cherché pas mal avant de trouver quelque chose d'ouvert.
Les routes étaient tortueuses à souhait, ça monte, ça descend, ça tourne, de quoi plaire à un motard quoi.
Par contre le nombre de radars fixes est vraiment impressionnant. Nettement plus que chez nous en fait et ce sont des radars en forme de tours qui ne flashent plus mais c'est de l'infra rouge et ils prennent en approche et encore une fois en étant passé. Ils sont le plus souvent positionnés en ville, là ou les limitations sont fréquemment à 30 km/h, parfois à 50 km/h et rarement en pleine nature mais ça arrive tout de même. Ils sont généralement indiqués par un tout petit panneau indiquant "radar Kontrolle", mais faut le voir c'est minuscule.
Tout ça pour expliquer qu'il y a bien 1 ou 2 "chances" qu'une prune teutonne vienne nous dire bonjour d'ici peu.... On verra bien.
Geisingen, Engen, on descend doucement vers le Lac de Constance et comme nous on descend, la température elle, monte !!
Stockach puis la route qui longe le lac et sa cohorte de camions pour la plupart immatriculée en Lettonie, Pologne, Tchéquie, Slovaquie qui transitent par là. Les habitants des villages traversés doivent être ravis.....je suppose.
Meersburg, Friedrichshafen, Eriskirch, Lindau puis frontière autrichienne, Bregenz et enfin Dorbirn.
Franchement depuis le repas de midi ce fut éprouvant car beaucoup trop chaud pour nous. La température est montée à 36 degrés le long du lac et reste ainsi jusqu'à l'hôtel. Cela m'a permis de tester le gilet rafraichissant acheté il y a maintenant 2 ans et jamais mis. Ben ça fonctionne plutôt bien, faut pas mettre de coton en dessous (j'en avais pas) et tant qu'on roule ça va bien, on sent une très grande différence entre les bras non rafraichit et le torse et le dos qui eux le sont.
A l'hôtel nous avons eu 2 belles chambres (non pas de chambre à part pour ma louloute et moi) mais 1 chambre pour nous et 1 pour Philippe et Cathy. Les motos dans le garage de l'hôtel pour la nuit.
Une bonne douche, hop le maillot de bain et plouf dans la piscine extérieure qui est annoncée à 25,9 degrés. Le contraste est quand même "saisissant" mais c'est vraiment bon.
Quelques longueurs gentilles puis envie de voir la piscine intérieure et ses spas.
Mazette, 38 degrés, des remous à chaque fois qu'on appuie sur un bouton, bref, soit un bouillon de culture géant soit quelque chose qui fait du bien en fonction du point de vue.. Nous en avons profité jusqu'au dîner servi entre 17h30 (ben oui là bas c'est ainsi) et 22h00 tout de même.
Nous avions réservé la table pour 19h30 et furent ponctuels au rendez vous. La carte des menus est réduite, très réduite même et ce fut donc burgers pour tout le monde suivi de bons desserts (Tiramisu).
Rendez vous pris le lendemain pour le petit déjeuner à 6h30 histoire de décoller tôt, du moins pas trop tard… Et tout le monde fut à l’heure au 11ème et dernier étage de l’hôtel avec vue panoramique à 360 degrés. La salle du petit déjeuner est vitrée sol/plafond sur toute la périphérie, c’est génial et magnifique. De plus le petit déjeuner et superbe, à la mode germanique, œufs comme vous les voulez, omelettes, durs, au plat, saucisses diverses et variés, légumes, saumon, jambon cru, fumé ou cuit, plein de fromages, des confitures excellentes, du pain de toutes les sortes, bref c’était vraiment délicieux.
Départ à 8h30 devant l’hôtel histoire de rouler non pas à la fraîche parce qu’il fait déjà 20 degrés mais au moins éviter de souffrir à nouveau de la chaleur. Le plan de route fut totalement chamboulé, nous avions prévu de passer par les chutes du Rhin à Schaffhausen en Suisse mais pas envie de nous traîner la nouille en Hélvétie mais envie de monter le plus vite possible en altitude.
Donc on a repris la route qui longe le lac en sens inverse avec un peu moins de trafic que le veille mais quand même dense malgré l’heure « matinale » jusqu’à récupérer une autobahn qui nous emmène jusqu’à Geisingen d’où nous récupérons une belle route vers le Titisee. Une petite pause café dans une bourgade dont j’ai oublié le nom et on remonte en selle jusqu’à Neustadt/Titisee où nous voulions déjeuner. On a garé nos motos et à pied avons trouvé un petit restaurant au bord du lac sans aucun accès possible avec un véhicule motorisé. Donc nous ne fûmes spas dérangés par le bruit des moteurs.
Ce lac est très prisé et on y voit de tout, petites embarcations électriques, nageurs, bateaux de « pirates », pédalos, paddle, bref tout ce qui aime l’eau qui pourtant n’est franchement pas très chaude. Nous avons déjeuné e compagnie de gentils moineaux auxquels nous avons donné à manger puisque nous aimons les bêtes.
Une fois les cafés avalés, Philippe et Cathy ont pris une autre route que nous pour rentrer chez eux et ma louloute et moi avons pris de superbes route pour passer par Freudenstadt, le Kniebis et descendre dans la vallée du Rhin via Oppenau, Oberkirch puis Kehl, Strasbourg, Wasselonne puis la maison.
Il n’a pas fait trop chaud aujourd’hui mais à nouveau dans la plaine du Rhin il faisait 29 degrés ce qui est de trop pour nous et nous furent contents quand arrivés chez nous il faisait 27 « seulement ».
Au final, une belle balade de 650 kilomètres environ, 650 changements de direction également, 39° d’angle d’un côté et 40 de l’autre, température minimale de 20 degrés et maximale de 36 degrés.
La GSA est une formidable machine à rouler, certes moins (beaucoup moins) à l’aise sur autoroute allemande que la K16 puisque l’avant se déleste passé une certaine vitesse et les turbulences sont nettement plus présentes qu’avec la K 16 qui était une limousine. En effet, la vitesse de croisière « idéale » pour moi pour la GSA est de 125/130 km/h alors qu’avec la K 16 nous étions toujours entre 160 et 180 km/h en totale décontraction, c’était fluide, tranquille, serein.
Mais sur les nationales et départementales on fait la même chose avec les 2 machines, avec plus de facilité pour la GSA quand ça tournicote beaucoup.
La Tiger 1200 est une jolie machine, très bien finie mais qui manque un peu de couple en bas du compte tours. Cela était flagrant quand on jouait à saute mouton avec les voitures sur la route qui longe le lac de Constance, à l’accélération il n’y avait pas photo, il fallait que la Triumph rétrograde pour suivre ma baleine.
Nous avons passé 2 jours à moto et j’avoue que ça me manquait beaucoup, énormément même et malgré la chaleur je n’ai aucun regret contrairement à ma louloute qui qu’elle n’aurait pas du partir, elle a souffert de la chaleur. Donc on va bloquer la moto du 15 Juin au 15 septembre… C’est ça, et quoi encore...

Allez, malgré la chaleur les photos sont là pour Straight-Six :

Départ





Oh une tour Eiffel miniature dans un rond point à Niedernai me semble t il





Cigogne

Le bac de Rhinau





Triumph Tiger 1200





Le type de route emprunté

Forêt Noire





Pause soif !





Forêt Noire

Rond point à Donaueschingen





Eglise + Lac de Constance





Lac et cultures de vignes

L'hôtel




Chargement le matin du 15/07






On part

La Triumph avec Cathy et Philippe





Belle bâtisse et paysage le long du lac





Route typique

Forêt Noire





Encore





Le bois autour de la maison

Jolie déco à l'entrée d'un restaurant au Titisee





Les 4 mousquetaires de ces 2 jours devant le Titisee





Le copain moineau

On mange





Il attend sa pitance





Il s'envole avec la nourriture dans le bec

Cette dame marchait péniblement avec 2 cannes et a nagé pendant je ne sais combien de temps





Petite chapelle





Jolie route que nous affectionnons particulièrement

Un petit regard vers les Vosges





Un reflet fugace





Belle Forêt Noire

Kilomètres et essence





Angles gauche et droite





Informations cruciales.....

Températures



Voilà, fin de ce CR, un bon coup de bécane qui m'a réellement fait aimer la GSA s'il le fallait encore !

Belle virée

Ça avait l air bien même si la chaleur peut être pénible parfois

PHOENIX a écrit:Belle virée

Ça avait l air bien même si la chaleur peut être pénible parfois

Merci Vincent mais franchement jeudi il faisait beaucoup trop chaud !

Bien sympa ce petit trip !!!

Merci Pierrot.

Je suis en pleine préparation du voyage en Italie, le départ approche...

K-Owner a écrit:Bien sympa ce petit trip !!!

Merci Pierrot.

Je suis en pleine préparation du voyage en Italie, le départ approche...

Soyez prudents tous les 2 et j'espère que vous supportez bien la chaleur !
Bon voyage à vous

Merci pour ce beau CR et ces belles photos.
Il est vrai que la moto ce n'est pas agréable lorsqu'il fait trop chaud mais ça fait du bien de rouler.
Merci à l'auteur du compte rendu et à notre photographe préférée....

Merci Jean Luc, je transmets avec plaisir.

Quelle narration !

Grand merci.

Oui il faisait bien chaud aussi hier dans le Vercors.
Rigolo de constater de telles variations thermiques, lors de la montée du col du Rousset, au fil des épingles.
Il y a quelques décennies, par de telles chaleurs, nous aurions connu bien des pannes...

Que de motards bien "pressés", doublant n'importe où, prenant des risques insensés, pour ensuite se trainer lamentablement. Pas sérieux et inquiétant pour notre avenir court terme. Ils auront bien terrorisé tous ces automobilistes étrangers.

A l'inverse de toi, nous avons apprécié d'être sur la RT, dont la chaleur ne remonte pas comme sur la K16 (flat). Quant en plus on y ajoute l'aspect maniabilité...
Coté angles, confirmation que "Connected" raconte n'importe quoi.

27° quand Pegase indique 42 °. Et vu la tête des petits bonhommes Michelin, je sais qui croire.
Peut-être un souci de position du smartphone, ici dans la poche à cause de la chaleur.



Nous avons enfin retrouvé notre grand-oncle Magnon (non pas d'erreur de consonne) !
Des crocs, il lui en manque un tas...

Quelle belle région que ce Vercors ! Malgré son passé et ses sacrifices, hélas trop vite oublié, enfin pas de tous...

Encore merci, keep cool, là ça devient bon, seulement 37°

Merci pour ton intervention Jean Michel.
En Alsace c'est plutôt Kro-nembourg que Magnon....

Pour l' avoir fait l' année dernière je confirma, le Vercors est une superbe région à motos.

Merci pour ce moment d’évasion.
Pour l’avoir traversé et un peu longé pour arriver à Garmisch.
Un joli souvenir.

Top les photos

Merci Christophe, oui c’est sympa !

Merci de nous emmener avec vous à chaque sortie !

Tiens souvenirs ! ... Friedrichshafen, passé mes deux mois de classes à l'armée en 1980

deux mois de classes

Faut que tu expliques aux p'tits jeunots ce que c'est ,ils ne connaissent pas.
Et c'est bien dommage

Florus15 a écrit:Merci de nous emmener avec vous à chaque sortie !

De rien mais maintenant je sais pourquoi je consomme autant de pneus arrière. À force de vous emmener je suis en surcharge !!!

Pat 7.3 a écrit:Tiens souvenirs !  ... Friedrichshafen, passé mes deux mois de classes à l'armée en 1980

Moi c’était 79/02 à Trêves en Allemagne aussi

ours57 a écrit:deux mois de classes

Faut que tu expliques aux p'tits jeunots ce que c'est ,ils ne connaissent pas.
Et c'est bien dommage

Ça ferait beaucoup de bien à pas mal de monde en effet !

Pierrot 67310 a écrit:

Florus15 a écrit:Merci de nous emmener avec vous à chaque sortie !

De rien mais maintenant je sais pourquoi je consomme autant de pneus arrière. À force de vous emmener je suis en surcharge !!!

J'ai prevenu Jofrey et Nicolas que tu passeras dans un mois pour un nouveau pneu.

Et moi 89/12 à Müllheim 34ième RA, il a été dissous peu de temps après

Tous des planqués ces gars en R 1250 ils ont vu du pays dans des camps semi disciplinaires en plus.....

Personnellement j'ai fait deux mois de classes mais au Bourget pour finir à Paris à Balard, terminus tout le monde descend, ha non ça c'était le métro. Et pour finir détachées dans le centre de Paris proche de saint germains des près.
Aviateur à Paris c'est original non

J'ai oublié de vous dire là ou nous étions le minimum de permission sur l'année était de 180 jours avec un record à 210 jours mais ce n'était pas moi

Moi au moins je me suis envoyé en l air et fait plus de décollage que d'atterrissage.

De toutes manières il est impossible, il me semble, de faire plus d'atterrissages que de décollages....

Puisqu'on en parle...

J'ai passé 12 mois ou presque au "club militaire-armée" à Berlin. Classe 82/08. J'ai un paquet de trucs à raconter, il y avait encore le mur... Et je suis souvent allé à l'est, de par mes fonctions (comment qu'il se la pète...)

Pat 7.3 a écrit:Tiens souvenirs !  ... Friedrichshafen, passé mes deux mois de classes à l'armée en 1980

Pierrot 67310 a écrit:

Pat 7.3 a écrit:Tiens souvenirs !  ... Friedrichshafen, passé mes deux mois de classes à l'armée en 1980

Moi c’était 79/02 à Trêves en Allemagne aussi

PHOENIX a écrit:Et moi 89/12 à Müllheim 34ième RA, il a été dissous peu de temps après

jll78 a écrit:Tous des planqués ces gars en R 1250 ils ont vu du pays dans des camps semi disciplinaires en plus.....

Personnellement j'ai fait deux mois de classes mais au Bourget pour finir à Paris à Balard, terminus tout le monde descend, ha non ça c'était le métro. Et pour finir détachées dans le centre de Paris proche de saint germains des près.
Aviateur à Paris c'est original non

J'ai oublié de vous dire là ou nous étions le minimum de permission sur l'année était de 180 jours avec un record à 210 jours mais ce n'était pas moi

K-Owner a écrit:Puisqu'on en parle...

J'ai passé 12 mois ou presque au "club militaire-armée" à Berlin. Classe 82/08. J'ai un paquet de trucs à raconter, il y avait encore le mur...  Et je suis souvent allé à l'est, de par mes fonctions (comment qu'il se la pète...)

Oh piting la réunion d'anciens combattants !!

Je ne sais si c'est des anciens combattants ou des nouveaux cons-battus

Pierrot 67310 a écrit:

Pat 7.3 a écrit:Tiens souvenirs !  ... Friedrichshafen, passé mes deux mois de classes à l'armée en 1980

Pierrot 67310 a écrit:

Pat 7.3 a écrit:Tiens souvenirs !  ... Friedrichshafen, passé mes deux mois de classes à l'armée en 1980

Moi c’était 79/02 à Trêves en Allemagne aussi

PHOENIX a écrit:Et moi 89/12 à Müllheim 34ième RA, il a été dissous peu de temps après

jll78 a écrit:Tous des planqués ces gars en R 1250 ils ont vu du pays dans des camps semi disciplinaires en plus.....

Personnellement j'ai fait deux mois de classes mais au Bourget pour finir à Paris à Balard, terminus tout le monde descend, ha non ça c'était le métro. Et pour finir détachées dans le centre de Paris proche de saint germains des près.
Aviateur à Paris c'est original non

J'ai oublié de vous dire là ou nous étions le minimum de permission sur l'année était de 180 jours avec un record à 210 jours mais ce n'était pas moi

K-Owner a écrit:Puisqu'on en parle...

J'ai passé 12 mois ou presque au "club militaire-armée" à Berlin. Classe 82/08. J'ai un paquet de trucs à raconter, il y avait encore le mur...  Et je suis souvent allé à l'est, de par mes fonctions (comment qu'il se la pète...)

Oh piting la réunion d'anciens combattants !!

Peux pas dire  mais suis mort plié

La 7ièm compagnie

Pierrot 67310 a écrit:

Pat 7.3 a écrit:Tiens souvenirs !  ... Friedrichshafen, passé mes deux mois de classes à l'armée en 1980

Pierrot 67310 a écrit:

Pat 7.3 a écrit:Tiens souvenirs !  ... Friedrichshafen, passé mes deux mois de classes à l'armée en 1980

Moi c’était 79/02 à Trêves en Allemagne aussi

PHOENIX a écrit:Et moi 89/12 à Müllheim 34ième RA, il a été dissous peu de temps après

jll78 a écrit:Tous des planqués ces gars en R 1250 ils ont vu du pays dans des camps semi disciplinaires en plus.....

Personnellement j'ai fait deux mois de classes mais au Bourget pour finir à Paris à Balard, terminus tout le monde descend, ha non ça c'était le métro. Et pour finir détachées dans le centre de Paris proche de saint germains des près.
Aviateur à Paris c'est original non

J'ai oublié de vous dire là ou nous étions le minimum de permission sur l'année était de 180 jours avec un record à 210 jours mais ce n'était pas moi

K-Owner a écrit:Puisqu'on en parle...

J'ai passé 12 mois ou presque au "club militaire-armée" à Berlin. Classe 82/08. J'ai un paquet de trucs à raconter, il y avait encore le mur...  Et je suis souvent allé à l'est, de par mes fonctions (comment qu'il se la pète...)

Oh piting la réunion d'anciens combattants !!

Mais c'est de ta faute !


Le lac de Constance, lieux de loisir de nos parents, après la traversée du Rhin, Berchtesgaden, Villigen et tous ces lieux qui ont marqué l'histoire dans nos esprits.

Oui, avec la 2ème DB bien sûr.

Fallait pas commencer !